Là où l’homme « se fait le seul propriétaire du monde et propriétaire de lui-même », ne peut dominer « que l’arbitraire du pouvoir et des intérêts ». Telles ont été les paroles fortes de Benoît XVI dans son homélie du 2 octobre 2005, dans laquelle il a dénoncé une certaine tolérance et mis en garde les fidèles de l’Eglise en occident contre le jugement de Dieu, les invitant à la conversion. Le pape, chaleureusement applaudi par le collège épiscopal, s’exprimait à l’occasion de la messe d’ouverture de la 11e assemblée générale du synode des évêques, célébrée dans la basilique Saint-Pierre. « Nous les hommes,…
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