Le directeur du Bureau de presse du Saint-Siège a précisé, le 25 octobre 2010, que les prises de paroles des différents participants au Synode des évêques pour le Moyen-Orient (10-24 octobre) ne devaient être considérées comme « la voix de tout le synode ». Le père Federico Lombardi entendait ainsi répondre aux critiques de l’Etat hébreu qui avait indiqué, la veille, que ce synode avait été « pris en otage par une majorité anti-israélienne ». « Si l’on souhaite avoir une expression synthétique des positions du synode, a ainsi précisé le père Lombardi dans une note communiquée à la presse, il faut actuellement s’en tenir…
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