Le cardinal Carlo Maria Martini est sorti de son silence « sabbatique », depuis Jérusalem, pour s’exprimer à propos de la situation internationale et invoquer la paix « qui a un coût », comparable à « un château de sable à protéger et à reconstruire toujours, avec une infinie patience ». Dans son intervention – publiée en première page de l’Osservatore Romano du 12 mars – l’ancien archevêque de Milan souligne que « la paix a un coût », mais que si notre société « veut sincèrement la paix, mais ne sait pas se décider à en payer le prix (…). Cela signifie qu’il faut être disposé à payer…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE