Il n’est plus nécessaire, dans certains cas, que Rome continue de nommer des évêques clandestins, affirme la Civiltà Cattolica, dans son édition du 15 octobre 2005. Dans son article intitulé ‘La Chine est en train de s’ouvrir’, le jésuite Hans Waldenfels montre également que les Eglises chinoises patriotique et clandestine avancent laborieusement vers l’unité. Il faut que « Rome renonce à donner une succession à la ligne retenue non-officielle du point de vue gouvernemental » lorsque, « dans le cadre de l’Eglise locale officielle, on est arrivé, ou l’on est en train d’arriver, à un nouvel accord », affirme la revue des jésuites relue…
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