Jean-Paul II a insisté auprès du nouvel ambassadeur du Brésil auprès du Saint-Siège, Oto Agripino Maia, venu lui présenter ses lettres de créances le 7 avril 2001, pour que le Brésil « améliore le plus vite possible les conditions de vie de ses prisonniers ». Le pape a aussi demandé à ce que le Brésil, « qui a une place prépondérante au sein des nations latino-américaines », fasse « un effort pour vaincre les déséquilibres sociaux, défende le droit des enfants et des femmes et porte une plus grande attention à son milieu naturel ». Jean-Paul II a par ailleurs dénoncé « des moyens de communications sociales »…
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