« Bien que difficile parce que long, le processus de recherche de la paix doit continuer ». C’est ce qu’a affirmé Jean-Paul II dès son arrivée à l’aéroport d’Amman, en Jordanie, en début d’après-midi, le 20 mars 2000. Après quatre heures de vol depuis Rome, l’avion du pape venait de survoler le nord du pays, une vaste plaine désertique, accompagné depuis la frontière jordanienne par des mirages lui formant une escorte d’honneur. Accueilli par le roi Abdallah II à sa descente d’avion, Jean-Paul II a salué des enfants musulmans et chrétiens qui ont lâché pour lui des colombes comme signe de paix.…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE