Le Saint-Siège veut « protéger l’intégrité » du traité de non-prolifération des armes nucléaires tout en reconnaissant la nécessité de poursuivre la recherche « pacifique » et « vitale » en ce domaine. Ce « dilemme » a été exposé par Mgr Celestino Migliore, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations unies, lors de la troisième session du Comité préparatoire pour la révision du Traité de non-prolifération des armes nucléaires (NPT) en 2005, qui a débuté le 26 avril 2004 et se conclura le 7 mai prochain. Si le traité de 1968 a contribué à la paix mondiale, « son intégrité et sa juste application sont aujourd’hui un défi ». Particulièrement…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE