Pour le cardinal Angelo Sodano, il n’y a pas de « centralisme romain » dont la Curie romaine serait la principale coupable, même s’il peut y avoir « des choses à corriger et à améliorer » dans son fonctionnement. C’est ce qu’a expliqué le secrétaire d’Etat du Saint-Siège sur Radio Vatican le 21 février 2000, à l’occasion du « Jubilé de la Curie romaine » célébré au Vatican le 22 février. Pour le cardinal Sodano, la Curie romaine est victime du fait qu’il y a aujourd’hui un grand « sens du péché ‘d’autrui' ». « On survole ses propres responsabilités et l’on recherche parfois un alibi dans l’incrimination des…
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