Un « crime » et une « catastrophe », c’est ainsi que Mgr Elio Sgreccia, vice-président de l’Académie pontificale pour la vie, a qualifié au micro de Radio Vatican la décision du parlement anglais, prise le 19 décembre 2000, de permettre l’utilisation d’embryons humains pour la recherche scientifique, et a fortiori, le clonage thérapeuthique. Le Parlement britannique vient en effet d’approuver « une extension » de la possibilité déjà offerte par la loi de 1990 qui autorisait l’utilisation d’embryons humains – de moins de quatorze jours – pour la recherche dans cinq cas : l’infertilité, les anomalies génétiques et chromosomiques, les maladies congénitales, l’abortion spontanée et…
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