Les médecins doivent avoir recours à « l’objection de conscience » si on leur demande d’effectuer des avortements ou des euthanasies, les législations qui leur sont favorables étant « intrinsèquement immorales ». C’est ce qu’a assuré Jean-Paul II en recevant le 7 juillet 2000, les quelque 800 participants du congrès des médecins, qui s’est tenu à Rome du 3 au 7 juillet 2000 sur le thème « médecine et droits de l’homme », à l’initiative de la Fédération européenne des associations médicales catholiques, de la Fédération internationale des associations des médecins catholiques, et de l’Association des médecins catholiques italiens. « Il n’est jamais permis de se faire…
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