Pour qu’une administration civile soit éthique, elle doit être au cœur de la société, à la fois au « service des citoyens », décentralisée, et « un bon exemple de saine laïcité ». C’est ce qu’a affirmé le cardinal Renato Martino, président du Conseil pontifical Justice et Paix, lors d’un séminaire commun à son dicastère et au ministère italien de la fonction publique sur le thème de « l’éthique et l’administration civile », dans la soirée du 27 avril 2004. Le cardinal a qualifié ces travaux « d’actualisation concrète du principe de collaboration entre l’Eglise et l’Etat, dans le respect des spécificités de chacun, afin de promouvoir…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE