« Il est très significatif que le pape ne soit venu à Bethléem qu’une fois que la ville soit passée sous le contrôle des Palestiniens ». C’est ce qu’a affirmé le 22 mars 2000 aux journalistes la femme de Yasser Arafat, Mme Suha Tawil, en commentant à Bethléem la rencontre officielle entre Jean-Paul II et le président de l’Autorité palestinienne qui s’était déroulée le matin même. Elle-même baptisée chrétienne, mais pratiquant aussi le culte musulman, Mme Suha Tawil a témoigné de la « joie » et de la « fierté » de tous les Palestiniens de recevoir Jean-Paul II. « Le fait que le pape ait embrassé…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE