Parce qu’il est « acte sacramentel », le sacrement de réconciliation « doit être protégé au nom de la liberté religieuse », a déclaré dans un entretien à Acistampa le cardinal Mauro Piacenza, pénitencier majeur de la Sainte Église romaine, le 15 octobre 2021. Celui qui dirige le premier des trois tribunaux du Vatican a souligné que tout ce qui est dit pendant une confession était donc « sous un sceau absolument inviolable ». Le prêtre ne peut pas communiquer l’information « parce qu’elle est donnée à Dieu seul », a insisté le haut prélat italien. Cela vaut aussi pour « le cas où, lors d’une confession […] un…