Mgr Celestino Migliore, Observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies à New York, a demandé, le 13 novembre 2009, une réforme du droit de veto accordé uniquement aux 5 membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies, à défaut de son abolition, désormais hors de portée. Si « l’abolition du droit de veto semble difficilement faisable, (…) sa réforme semble plus appropriée et réaliste », a ainsi affirmé le haut prélat, qui intervenait sur le fonctionnement du Conseil de sécurité de l’organisation des Nations unies, composé de 5 membres permanents (Etats-Unis, Chine, Russie, France et Grande-Bretagne) et de 10 membres…
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