A l’occasion de sa première visite à la paroisse évangélique luthérienne de Rome, le 14 mars 2010, Benoît XVI a rappelé que « seul Dieu peut donner aux chrétiens l’unité » qu’ils ont eux-mêmes détruite. Devant les quelque 350 fidèles de cette Eglise, dont beaucoup sont des Allemands, le pape a appelé les chrétiens à « affirmer plus clairement » qu’ils ne sont pas marqués d’abord par « les différends » mais « par l’espérance que cette unité puisse être de plus en plus profonde ». Depuis la chaire en marbre blanc de la ‘Christuskirche’, les épaules recouvertes d’une épaisse mozette et d’une étole richement brodée, Benoît XVI…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE