« Se tuer ou se faire aider à mourir n’est en aucun cas un ‘acte noble' ». C’est ainsi que L’Osservatore Romano réagit dans son édition du 31 mai 2000 face aux commentaires qui ont suivi la mort d’un Italien de 27 ans, à la suite de piqûres d’insuline que lui a fait l’un de ses camarades le 24 mai dernier près de Pise. Atteint d’une forme grave de cardiopathie, le jeune homme devait subir prochainement une opération difficile. Accusé le 29 mai d' »homicide avec consentement », l’ami qui s’est chargé des piqûres a toutefois été immédiatement « pardonné » par les parents du jeune…
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