Le manque de référence à Dieu dans la nature profite aux « puissances occultes et manifestes ». C’est ce qu’affirme le père Gino Concetti, théologien moral de L’Osservatore Romano, dans son édition du 25 avril 2001, à l’occasion de la présentation d’un livre publié ces jours-ci par la fondation italienne Montagne et Europe, qui recueille les textes d’une rencontre organisée en l’an 2000 à l’occasion du jubilé, et à l’occasion des « fortes contestations contre les effets dévastateurs des nouvelles techniques productives ». « Si on veut exclure toute référence à Dieu, écrit le théologien moral du quotidien du Vatican, l’écologie restera orpheline, elle sera…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE