Si les instruments et les structures juridiques nécessaires à l’éradication des génocides existent déjà, il faut une plus grande volonté pour les mettre en application. Telle est la position tenue par Mgr Celestino Migliore, observateur permanent du Saint-Siège à l’ONU, au forum international sur la prévention des génocides, qui s’est déroulé à Stockholm du 26 au 28 janvier 2004. Pour Mgr Celestino Migliore, si « la communauté internationale a développé des instruments légaux et des structures juridiques » comme la « Convention de prévention et de punition des génocides » (1948) ou « la cour criminelle internationale » (1998), elle n’a pas réussi « à empêcher de…
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