L’homme ne peut être considéré comme « un fléau ou une menace » pour l’environnement, a affirmé l’Observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies à New York, 29 octobre 2007. Mgr Celestino Migliore, qui intervenait lors d’un débat sur le développement à l’Onu, a aussi regretté que les pauvres soient les premiers à pâtir de la dégradation de l’environnement. « Ma délégation croit que protéger l’environnement signifie plus que le défendre », a ainsi soutenu Mgr Celestino Migliore avant d’expliquer que « la protection de l’environnement implique une vision plus positive de l’être humain » dans laquelle « la personne n’est pas considérée comme un fléau…
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