L’Etat devrait reconnaître dans l’Eglise un contre poids au service des citoyens. C’est ce que Benoît XVI a expliqué aux évêques tchèques en visite Ad Limina, le 18 novembre 2005. « L’Etat ne devrait pas avoir de difficulté à reconnaître dans l’Eglise une partie adverse qui ne cause aucun préjudice à ses fonctions au service des citoyens », a déclaré le pape. « L’Eglise développe en effet son action dans le domaine religieux pour permettre aux croyants d’exprimer leur foi, sans toutefois envahir la sphère de compétence de l’autorité civile », a poursuivi le souverain pontife. Par « son engagement apostolique et par sa contribution…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE