L’état de santé de Jean-Paul II s’est très nettement aggravé au soir du 31 mars 2005, faisant craindre le pire. Dans le cas de la mort du pape, la curie romaine fonctionnerait au ralenti, les cardinaux du monde entier afflueraient au Vatican pour les funérailles de Jean-Paul II et l’élection du 265° évêque de Rome. A la mort du pape, la curie romaine est mise en sommeil. Tous les chefs de dicastères, le cardinal secrétaire d’Etat et les cardinaux ou archevêques présidents de Congrégations et préfets de Conseils pontificaux, cessent d’assurer leur fonction. Ce sont les secrétaires des dicastères qui…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE