Le Saint-Siège demande aux évêques et prêtres catholiques tchèques ordonnés clandestinement sous le régime communiste d’accepter les directives du pape à leur sujet – s’ils ne l’ont pas déjà fait – pour assurer la validité de leur ordination et des sacrements qu’ils célèbrent. C’est ce qu’explique le cardinal Joseph Ratzinger, dans une déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi, dont il est le préfet, publiée le 14 février 2000. L’Eglise de Tchécoslovaquie étant redevenue libre en 1990 après la chute du communisme, le Saint-Siège avait en effet demandé que les prêtres et les évêques ordonnés clandestinement sous…
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