Il faut pardonner à l’assassin du père Andrea Santoro, a déclaré le cardinal José Saraiva Martins dans le quotidien italien La Repubblica du 6 février 2006, précisant que le pardon caractérise « la véritable essence du chrétien ». Le préfet de la Congrégation pour les causes des saints s’est exprimé sur le sens du martyre, sans pour autant se prononcer sur les raisons de l’assassinat, la veille, du prêtre italien en mission en Turquie. « Avec le sacrifice de don Andrea Santorno, l’Eglise s’est à nouveau colorée de rouge, la couleur du sang des martyrs », a déclaré le cardinal portugais. « Cela est toujours…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE