Début août, durant son séjour estival à Castel Gandolfo près de Rome, Benoît XVI n’a pas hésité à revenir sur la situation au Proche-Orient à chacune de ses interventions publiques. Ainsi, lors de sa dernière prise de parole, le 6 août 2006, lors de la prière de l’Angélus, le pape a fait le « constat amer » que « les voix appelant à un cessez-le-feu immédiat » dans la région étaient restées « sans réponse ». « Face au constat amer que, jusqu’à présent, les voix appelant à un cessez-le-feu immédiat dans cette région tourmentée sont restées sans réponse, je ressens le besoin urgent de renouveler mon…
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