L’Eglise catholique de Colombie, si elle n’a pas de rôle politique en tant que tel, bénéficie d’un respect et d’une reconnaissance lui permettant de jouer un rôle d’intermédiaire pour la réconciliation entre le gouvernement et les forces rebelles du pays. C’est ce qu’a expliqué Mgr Juan Francisco Sarasti, archevêque de Cali en Colombie, interrogé le 18 juin 2004 par I.MEDIA sur les modalités du dialogue mené par l’Eglise colombienne avec ses différents interlocuteurs. D’après le successeur de Mgr Isaias Duarte Cancino, assassiné le 16 mars 2002, les propos de l’épiscopat, « uni », sont « écoutés et respectés » dans le pays, même s’ils…
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