Après le discours de Jean-Paul II au corps diplomatique le 10 janvier 2002, on met en relief, au Vatican, le passage consacré à l’Europe, dans lequel le pape regrette que les religions ne soient pas impliquées dans la réflexion sur la future « constitution de l’Union ». Au Vatican, on affirme ainsi que la « tristesse » de Jean-Paul II, n’est pas seulement liée au fait que, dans le texte issu du récent sommet de Laeken, en Belgique, on ne mentionne pas les chrétiens comme susceptibles d’apporter une contribution à la réflexion, mais l’ensemble « de la communauté des croyants », toutes religions confondues. Le texte…
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