Le Vatican est intervenu tard dans la soirée du 15 février 2000 pour réaffirmer l’objectif de l’accord signé le 15 février entre le Saint-Siège et l’OLP, à savoir la reconnaissance juridique de l’Eglise catholique dans les territoires dépendant de l’Autorité palestinienne. Israël avait en effet immédiatement réagi, accusant le Vatican « d’interférer dans les négociations entre Israël et les Palestiniens ». « L’accord signé ce matin ne regarde pas le processus de paix en tant que tel mais régit la présence et l’activité de l’Eglise catholique sur les territoires dépendant de l’Autorité Palestinienne » affirme un communiqué du porte-parole du Saint-Siège envoyé aux agences…
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