Le Vatican a exprimé sa « désapprobation » et a déclaré être « vivement attristé », le 24 juin 2008, par les accusations « infâmantes » de la presse italienne dans l’affaire de l’enlèvement et de la disparition d’Emanuela Orlandi, la fille d’un employé du Vatican, en 1983. Cette affaire rocambolesque, jamais élucidée, défraie régulièrement la chronique dans la péninsule. Pour le 25e anniversaire de la disparition de la jeune fille, la presse transalpine a diffusé un nouveau témoignage mettant en cause Mgr Paul Marcinkus, le célèbre ‘banquier du pape’ au début du pontificat de Jean-Paul II (1978-2005), aujourd’hui décédé. « Le tragique événement de la disparition…
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