Dans la poudrière irakienne, le patriarcat chaldéen et la nonciature apostolique de Bagdad doivent conduire leur médiation en faveur de la libération des otages dans le « silence », « lentement » mais « sûrement ». C’est ce qu’a déclaré le patriarche Emmanuel III à l’agence de presse de la Conférence épiscopale italienne SIR, le 28 avril 2004. Assurant que les trois otages italiens détenus depuis deux semaines en Irak « se portaient bien » et se montrant optimiste quant à leur prochaine libération, le patriarche a estimé que, sur ce sujet, « il serait opportun d’user de patience et d’être plus discret, ceci valant aussi pour les médias ». »Les…
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