Le Saint-Siège a demandé que « tous les moyens diplomatiques » possibles soient utilisés pour résoudre la crise nucléaire iranienne, par la voix de Joaquin Navarro-Valls, le 3 juin 2006. Les propos du directeur de la Salle de presse du Saint-Siège, sur demande des journalistes, ont coïncidé avec le refus de Téhéran de suspendre l’enrichissement d’uranium, exprimé par le chef de la diplomatie iranienne, Manouchehr Mottaki. Ce dernier a cependant affirmé que l’Iran examinerait les nouvelles propositions des grandes puissances sur le nucléaire avant de donner une réponse officielle. « Comme toujours, a déclaré Joaquin Navarro-Valls, le Saint-Siège encourage toute initiative en vue…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE