Le Saint-Siège reste convaincu de la nécessité d’un « instrument juridique international qui interdise le clonage de l’embryon humain ». Telle a été la position rappelée par l’Observateur permanent du Saint-Siège aux Nations unies, Mgr Celestino Migliore, devant la 6e Commission de l’Onu réunie le 21 octobre 2004 à New York, sur la ‘Convention internationale contre le clonage reproductif des êtres humains’. Le Saint-Siège est favorable à la recherche scientifique et reconnaît que la greffe de cellules souches adultes, qui ne soulève « aucune question éthique », a sauvé « des milliers de vie ». Il s’oppose en revanche au clonage de l’embryon, considéré par certains…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE