Le prix Nobel de la paix, Elie Wiesel, a regretté que Jean-Paul II ait mélangé la condamnation du terrorisme à une critique du mur de sécurité israélien qui, selon lui, est « une œuvre de pure auto-défense ». Interrogé par le quotidien italien Corriere della Sera dans son édition du 17 novembre 2003, celui qui est considéré comme le porte-parole des juifs de la diaspora s’attendait « à autre chose » de la part du « leader spirituel d’une des plus grandes et importantes religions du monde ». Elie Wiesel réagissait aux propos tenus par le pape au cours de son Angélus du 16 novembre. Le…
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