Jean-Paul II a de nouveau évoqué la nécessité d’un « statut spécial internationalement garanti » pour Jérusalem, le 26 octobre 2000, en recevant au Vatican le nouvel ambassadeur du Liban près le Saint-Siège, Fouad Aoun, venu lui présenter ses lettres de créances. « Jérusalem doit être un symbole particulièrement fort d’unité, de paix et de réconciliation pour toute la famille humaine ! », s’est en effet exclamé le pape, en déplorant que « la conjoncture actuelle au Proche-Orient demeure particulièrement inquiétante ». « L’établissement définitif de la paix et de la sécurité dans la région se fait toujours plus attendre et semble parfois s’éloigner, a regretté Jean-Paul…
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