Dans un télégramme de condoléances adressé le 4 mai 2000 au président de la Conférence épiscopale des Philippines, le pape exprime « sa profonde inquiétude » pour l’aggravation de la situation au sud du pays et demande aux rebelles séparatisties islamistes, qui détiennent encore des otages sur l’île de Basilan au sud des Philipinnes, « de les relâcher au plus vite ». Le pape déplore en particulier la mort de quatre des otages, dont un prêtre clarétin philippin de 34 ans. « J’appelle toutes les personnes impliquées dans le conflit dans cette région, écrit le pape, à renoncer à la violence, qui a déjà causé…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE