Jean-Paul II a fermement condamné « le phénomène préoccupant de l’usure » le 22 novembre 2000, en recevant les membres de fondations « antiusure » sur la place Saint-Pierre lors de l’audience générale. Le pape les a encouragés en effet à « continuer à s’engager généreusement dans le combat de cette exploitation impitoyable du besoin des autres », dont il a évoqué les « implications sociales dramatiques ». « L’usure est une plaie sociale déferlante et il faut absolument venir au-devant de ceux qui sont impliqués dans ce réseau d’injustice et de graves souffrances, a encore affirmé le souverain pontife, en souhaitant que l’on puisse « accomplir des pas concrets…
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