« Partout, la violence révèle son horreur et son incapacité à résoudre les conflits ». C’est ce qu’affirme Jean-Paul II dans un message remis le 18 septembre 2004 au nouvel ambassadeur d’Egypte près le Saint-Siège, madame Nevine Simaika Halim, venue lui présenter ses lettres de créance à Castel Gandolfo. Dans un long discours en français, le pape condamne fortement les conflits en Terre Sainte et en Irak ainsi que le terrorisme « qui frappe si cruellement des innocents ». « En ces temps troublés, il ne pourra y avoir d’apaisement durable dans les relations internationales que si la volonté de dialogue prévaut sur la logique…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE