Sur la première page de L’Osservatore Romano en date du 23 octobre 2003, le directeur de la publication, Mario Agnes, critique fermement les « dissertations boiteuses et indélicates d’ordre pseudo-canonique concernant tel ou tel avenir ou telle ou telle hypothèse ». Alors que Jean-Paul II a achevé le 22 octobre au matin, les célébrations qui entouraient son jubilé d’argent, de nombreuses spéculations sont en effet apparues sur son état de santé et sur sa capacité à poursuivre sa mission. Le pape ne prononçant plus, ces jours-ci, que quelques rares paroles au cours de ses apparitions publiques, certains observateurs s’interrogent ainsi sur la…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE