Le dialogue œcuménique ne peut pas fonctionner selon des principes « politiques » comme « l’habileté à négocier » ou « une capacité à trouver des compromis » de « bons médiateurs » capables de trouver « des accords acceptables par tous ». C’est ce qu’a expliqué Benoît XVI aux quelque 60 participants à l’Assemblée plénière du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens marquant le cinquantenaire de la création du dicastère, dans la matinée du 18 novembre 2010 au Vatican. Dans son discours, le pape a commencé par rappeler que, « même en présence de nouvelles situations problématiques, ou de sujets difficiles pour le dialogue, l’objectif du cheminement…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE