Benoît XVI a estimé que la « musique grégorienne » ou les partitions de « Bach ou Mozart interprétés à l’église » n’appartenaient pas au passé. C’est ce qu’il a souligné, le 21 mai 2008, au cours de l’audience générale, s’arrêtant dans sa catéchèse sur la figure du diacre syrien Romanos le Mélode (490-555 environ), l’un des plus grands auteurs d’hymnes religieux de l’Orient. En raison de la pluie incessante, l’audience ne s’est pas déroulée sur la place Saint-Pierre, mais en deux temps : tout d’abord dans la basilique Saint-Pierre où le pape a salué certains groupes de pèlerins, puis dans la salle Paul…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE