Le cardinal Angelo Sodano a regretté que le sommet de Rome sur le Liban du 26 juillet n’aboutisse pas « à un cessez-le-feu immédiat ». Le secrétaire d’Etat du Saint-Siège, qui s’exprimait dans une interview donnée le 27 juillet 2006 au Corriere della Sera, a néanmoins considéré cette réunion comme un « pas en avant », notamment au niveau de l’aide humanitaire apportée dans la région. « Nous aussi avons eu l’impression d’un pas en avant », a ainsi déclaré le cardinal Sodano. « Bien sur, certains resteront déçus parce qu’on n’est pas arrivé à l’engagement pour un cessez-le-feu immédiat, comme cela a été invoqué par beaucoup…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE