Pour le cardinal Renato Martino, président du Conseil pontifical Justice et Paix, la diplomatie secrète est utile et nécessaire dans certaines situations. C’est ce qu’il a déclaré lors de la présentation du livre L’Eglise et l’ordre international, à l’université grégorienne, le 25 mai 2004. « En 41 ans au service de la diplomatie du Saint-Siège, si les médias avaient été informés des premières phases d’opérations délicates, qui ont ensuite réussi grâce à la discrétion observée, les résultats en auraient été irrémédiablement compromis », a déclaré le cardinal italien, en réponse à l’intervention de l’une des participantes à la réunion qui avait insisté…
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