« Je souhaite, j’espère et je prie pour que cette blessure se ferme, mais le chemin est encore long. » C’est ce qu’a affirmé, à propos du mouvement lefebvriste, le cardinal Joseph Ratzinger, le 2 avril à Milan, au cours de la présentation de son dernier livre. Selon le quotidien Avvenire en date du 3 avril 2001, le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi aurait encore ajouté, « je note de la part de ce mouvement un endurcissement et une fermeture sur lui-même, ce qui rend problématique le processus de réconciliation, au moins à brève échéance ». « Cependant, a ajouté…
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