Les catholiques ne doivent plus financer les activités d’Amnesty International (AI), en raison de sa prise de position favorable à l’avortement. C’est ce qu’a expliqué le cardinal Renato Martino, président du Conseil pontifical Justice et Paix, dans une interview accordée au National Catholic Register, le 13 juin 2007. Le cardinal Martino a ainsi exprimé son profond regret pour la prise de position abortive d’Amnesty International, soulignant que se prononcer en faveur de la dépénalisation de l’IVG (interruption volontaire de grossesse) représentait une trahison des objectifs institutionnels de l’institution, a aussi rapporté un communiqué du Conseil Justice et Paix, le 13…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE