Suite à la décision d’Amnesty international de soutenir officiellement le droit à l’avortement en cas de viol, le cardinal Renato Martino, président du Conseil pontifical Justice et Paix, a espéré que l’organisation fasse « marche arrière » et s’engage en faveur de la vie. C’est ce qu’il a déclaré dans une interview accordée au quotidien italien Il Messaggero, le 14 août 2007, estimant, dans le cas contraire, « que l’argent que les catholiques versent à cet organisme est mal dépensé ». « J’espère qu’ils feront marche arrière publiquement disant haut et fort que leur activité est en faveur de la protection de la vie, du…
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