L’Académie pontificale pour la vie invite, dans un communiqué du 31 octobre 2000, à manifester une « objection de conscience » pour refuser de collaborer à la diffusion de l’usage de la « pilule du lendemain », alors que celle-ci vient d’être mise en vente dans les pharmacies italiennes. Dans ce communiqué, l’Académie rappelle en effet que cette pilule, si elle est prise au plus tard 72 heures après un rapport sexuel, empêche que l’éventuel ovule fécondé ne s’implante dans la paroi utérine, et a donc pour résultat l’expulsion et la perte de cet embryon. Il s’agit donc d’une pilule « abortive » et non « contraceptive »,…
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