Alors que l’Eglise italienne célébrait le 7 février 2010 la 32e Journée nationale pour la vie, Benoît XVI a regretté, lors de l’Angélus, les conséquences sur la vie des « plus faibles » et des « personnes sans défense » des « mécanismes » qui engendrent la pauvreté et créent « de fortes inégalités sociales ». Depuis la fenêtre de son bureau, au 3e étage du Palais apostolique, le pape a alors lancé un appel à la solidarité pour « dépasser l’indigence et le besoin ». A l’époque actuelle, marquée par des difficultés économiques, Benoît XVI a ainsi déploré l’existence de « mécanismes qui blessent et outragent la vie en produisant…
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