« Les relations avec les Etats non signataires du traité d’Ottawa contre les mines anti-personnelles doivent être marquées par la compréhension et la collaboration ». C’est ce qu’a souligné le 17 septembre, l’observateur permanent du Saint-Siège au bureau de Genève de l’ONU, lors de la IVe conférence des Etats membres de la convention sur l’interdiction des mines anti-personnelles qui se tient à Genève du 16 au 20 septembre. Alors que dans le monde, restent encore plus de 230 millions de mines anti-personnelles à éliminer et que plus de 20 000 personnes en meurent chaque année, l’observateur du Saint-Siège a en outre insisté…
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