Alors que 28 nouvelles recrues de la garde suisse pontificale devaient prêter serment, dans la soirée du 6 mai 2002, les responsables de ce corps chargé de la sécurité du pape tentent de rendre plus attirante la Garde afin de faire face à la diminution d’entrées. Pour le commandant actuel, Pius Segmüller, l’affaire du caporal Cédric Tornay et les événements du 11 septembre sont les deux principales causes de cette « évolution ». Ce sont 18 gardes de langue allemande, 6 de langue italienne et 4 de langue française qui devaient prêter serment dans la cour Saint-Damase du palais apostolique, au sein…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE