En rencontrant des représentants de mouvements populaires internationaux ce 20 septembre 2024, le pape François a lancé un vibrant plaidoyer pour la justice sociale, assurant que la défense des pauvres est un devoir du catholique qui « ne peut être négocié ». Il a semblé critiquer à mots couverts la politique en Argentine, décriant la répression du gouvernement contre les manifestations sociales – sans toutefois nommer spécifiquement le président Javier Milei. Signe d’attention particulière : ce matin, le pape est sorti de l’enceinte du Vatican pour rejoindre le palais Saint-Calixte, siège du dicastère pour le Service du développement humain intégral, à l’occasion d’un…