La crise de la famille constitue « un grave préjudice pour notre civilisation », a déclaré Benoît XVI lors des premières vêpres de l’année 2006 et du Te Deum de remerciement pour l’année écoulée, qu’il présidait dans la soirée du 31 décembre 2005. Dans son homélie prononcée dans la basilique Saint-Pierre pleine, le pape a dressé un rapide bilan de l’année 2005. Jean-Paul II était persuadé et a rappelé à plusieurs occasions que « la crise de la famille constitue un grave préjudice pour notre civilisation », a affirmé Benoît XVI rendant hommage à son prédécesseur. « C’est justement pour souligner l’importance dans la vie…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE